Aïn M'lila Encore un crime Présenté avant-hier devant le procureur de la République près le tribunal d'Aïn Mlila, l'auteur, âgé de 18 ans, du crime sur un sexagénaire commis jeudi dernier, a été écroué, apprend-on auprès de la cellule de communication de la Sûreté de wilaya d'Oum El-Bouaghi. Pour rappel, la victime a reçu un coup à l'abdomen qui lui a été fatal. K. Messaad Pour détournement et séquestration de mineur Un jeune de 23 ans écroué à El-Tarf Un jeune de 23 ans été récemment appréhendé par les gendarmes lors d'un contrôle inopiné opéré dans la municipalité de Zitouna dans la wilaya d'El-Tarf. Ce dernier aurait séquestré une mineure de 16 ans en l'entraînant dans une forêt se trouvant aux abords de la route menant vers Souk Ahras pour abuser d'elle. Présenté devant le procureur territorialement compétent, il sera incarcéré en attendant son jugement. Tahar B. Pour encourager le tourisme de chasse Lâchers de faisans à Skikda La Journée nationale de l'arbre a été fêtée, samedi dernier, dans la wilaya de Skikda, par un premier lâcher de faisans de type “commun” dans la zone humide de Guerbes Senhadja. Le “faisan commun” a la caractéristique d'être moins nerveux que les autres souches pour vivre sur les territoires vallonnés et montagneux. Il est le plus adapté pour assurer un succès de cette opération de repeuplement au niveau de la zone humide de Guerbes Senhaja. Le faisan, un gibier d'une chair très appréciée, vit dans les zones humides et se nourrit d'insectes, de vers, de limaçons mais aussi de graines agricoles, de plantes et de fruits notamment des grappes de raisins. La poule pond 12 à 18 œufs, ce qui favorise un rapide repeuplement de la région. Les volatiles ont été ramenés du centre cynégétique de Zéralda, une pépinière d'animaux rares, ils ont subis une période d'acclimatations aux conditions climatiques de Guerbes pendant une durée d'un mois dans des volières avant l'opération des lâchers. A. Boukarine Ouverte depuis hier 81 affaires devant la session criminelle d'Oum El-Bouaghi La troisième session criminelle de la cour d'Oum El-Bouaghi, chapeautant aussi la wilaya de Khenchela, est ouverte depuis hier. Pas moins de 81 affaires incriminant 175 individus dont 5 femmes seront traitées. Celles ayant trait à la constitution de groupes de malfaiteurs viennent en pole position avec 41 affaires, suivies des homicides volontaires (21 affaires) et le faux et usage de faux (13 affaires). Il importe aussi de rappeler que cette session statuera sur deux affaires ayant trait à l'apologie du terrorisme et la commercialisation d'armes à feu. K. Messaad Aïn Arnat (Sétif) La RN5 éclairée le jour Au moment où des cités de la ville de Aïn Arnat, chef-lieu de daïra, distant de quelques encablures de l'aéroport du 8-Mai-1945 sont plongées dans le noir, la rue principale qui longe la ville est éclairée même le jour. En effet, il arrive souvent que les services concernés oublient d'éteindre les lampadaires. Cette situation a été constatée plusieurs fois par les habitants et les usagers de cet axe routier de la RN5 qui connaît un grand trafic à longueur de journée. Des habitants, qui ont remarqué cette anomalie, se demandent pourquoi les responsables ne trouvent pas une solution radicale pour ce problème car l'éclairage public est payé avec l'argent du contribuable. Devant l'absence de contrôle rigoureux Les lampadaires allumés de jour En dépit de l'interdiction de la vente de viande hachée au préalable, certains commerçants, dépourvus de toute conscience et insoucieux de la santé de leurs clients, continuent à user de certaines pratiques commerciales profitant du manque de contrôle ou carrément de son absence. Des bouchers, notamment du marché des 1014-Logements, du marché couvert et du souk populaire Abacha-Ammar proposent à la vente de la viande hachée à l'avance et d'autres vendent des poulets non vidés. Le consommateur, attiré par le prix de ces produits, achète sans réfléchir. “Le consommateur achète le poulet non vidé parce qu'il est moins cher”, nous a affirmé un boucher exerçant au marché des 1014-Logements. Pourtant, les risques d'intoxication ne sont pas écartés. L'on se rappelle encore l'affaire du “cachir” avarié qui a coûté la vie à plusieurs personnes. F. Senoussaoui