L'Ancien jardin public : les citoyens inquiets Considéré comme un lieu de loisirs et de détente pour un grand nombre de Relizanais, et l'ayant été par le passé ; l'ancien jardin public ne manque pas, ces derniers temps, de faire parler de lui, la situation y étant désormais intolérable. Cet état de fait a poussé les citoyens du boulevard de la République, les habitants de la cité des Jardins et de la rue Bekhadda Ould Missoum à rédiger une pétition à l'adresse du président de l'APC de Relizane, lui demandant de leur accorder des facilités pour l'exploitation de cet espace vert à des fins utiles en veillant à sa préservation et sa protection, et permettre en outre la réouverture de la crèche aux enfants des endroits qui sont limitrophes. Les citoyens souhaitent ainsi mettre fin à beaucoup de pratiques négatives touchant aux bonnes mœurs de la société et constatées fréquemment dans ce jardin auquel il veulent faire retrouver sa vocation initiale. Le problèmede la sécurité est lui aussi évoqué dans la lettre remise au chef de l'exécutif communal. En attendant, ces citoyens jaloux du patrimoine local espèrent trouver un écho favorable à leurs préoccupations. N. A. Une famille sollicite le ministre de la Santé Une prise en charge médicale à l'étranger pour deux enfants La famille Ghanemi, habitant à la cité Dallas au chef-lieu de la wilaya de Relizane, est à implorer le ministre de la Santé et de la Réforme hospitalière pour une prise en charge médicale à l'étranger de ses deux fils A. et Y., âgés respectivement de 16 et 14 ans, les deux garçons souffrent, depuis leur enfance, de dysfonctionnement et d'hypéroxalurie primaire, maladie génétique rare consistant en un déficit enzymatique hépatique responsable de la formation excessive d'oxalate excrété par les urines. Cette maladie est une cause relativement fréquente d'IRT (insuffisance rénale terminale) où le seul traitement est la greffe hépato-rénale. C'est le service de la lutte contre le cancer de l'hôpital Mustapha Bacha à Alger qui a découvert ces maladies chez les deux patients dont la mère, touchant une maigre retraite de 5.000 DA par mois, ne peut subvenir aux besoins de la famille. Ancienne infirmière, elle s'occupe comme elle peut de sa progéniture en attendant que son appel de détresse trouve un écho favorable auprès du ministère de la Santé après que, dit-elle, “toutes les portes sont restées closes au niveau local”. Pourtant, affirme-t-elle, le dossier fourni pour une prise en charge a été accepté par la commission médicale régionale de l'Ouest, la commission nationale a opposé un niet catégorique. Tous les espoirs de la famille reposent donc désormais sur l'intervention de M. Saïd Barkat pour une éventuelle prise en charge à l'étranger. N. AYMEN