Tizi Ouzou 226 postes d'emplois temporaires pour la daïra d'Azazga Quelque 226 postes d'emplois temporaires ont été attribués par la Direction de wilaya de l'action sociale (DAS) au profit de la daïra d'Azazga. La durée de ces postes, qui entrent dans le cadre de la mise en œuvre du programme de la PAIS (Prime d'activité d'insertion sociale), est de 6 mois, soit du 2 novembre 2008 au 30 avril 2009. Ce quota de postes d'emploi est réparti sur les cinq communes que compte la circonscription administrative d'Azazga, en conformité avec le nombre d'habitants et du taux de chômage sévissant dans chaque municipalité. Ainsi, l'APC d'Azazga bénéficie de 87 postes, Yakouren 43 postes, Fréha 60, Zekri 11 et enfin Ifigha avec 25 postes. Les jeunes chômeurs qui peuvent postuler à ce dispositif doivent être âgés entre 19 et 30 ans, tandis que le dépôt des dossiers d'embauche doit se faire auprès des services sociaux des communes de résidences des candidats. Le recrutement se fait par contrat de six mois renouvelable et les jeunes reçus rémunérés à raison de 2 270 DA par mois, seront affectés dans des écoles et des administrations à caractère public pour y effectuer des tâches et des travaux d'intérêt général, tels que l'entretien des établissements, le nettoiement des espaces verts, le gardiennage... H. A. Routes de Sid-Ali Ouyahia et des lycées de AïN EL-HAMMAM Après la pluie, la gadoue Ils sont plusieurs centaines de passants au village Sid-Ali Ouyahia à être obligés quotidiennement à barboter dans la gadoue pour frayer un gué de fortune et rejoindre leurs établissements scolaires du chef-lieu, Aïn El-Hammam. La mare se forme à chaque fois que quelques gouttes de pluie viennent s'ajouter aux désagréments de la route de Sid-Ali Ouyahia ou celle des deux lycées de l'ex-Michelet. Elle rend la vie dure à plusieurs citoyens qui n'ont souvent pas les moyens de changer cet état de fait. Les chemins des deux lycées de la daïra de Aïn El-Hammam ne dénotent réellement que le degré d'indifférence affichée par les autorités locales eu égard à cette frange de la société qui, le moins qu'on puisse dire, est que, malgré les promesses de changement, l'on ne s'inquiète guère des conditions de ces écoliers, collégiens et lycéens. Ces routes boueuses aux cratères et nids-de-poule béants sont, à chaque occasion, délestées de leur bitume pour constituer des années durant de véritables calvaires à la fois aux automobilistes et aux piétons. Enfin, les passants pour se frayer un passage doivent souvent user des moyens de fortune en évitant des plongées ou des coups d‘éclaboussures malencontreuses. LIMARA B.