Aïn Defla Attribution de 48 logements sociaux participatifs Les demandeurs de logements de la commune d'Aïn Defla, chef-lieu de wilaya, ont accueilli favorablement la distribution de 48 logements sociaux participatifs situés au niveau de la cité El-Khayat Cette attribution effectuée par le wali d'Aïn Defla s'inscrit dans le quota de logements sociaux participatifs de 1 125 unités cadrant avec le programme quinquennal 2005/2009. Il est à noter que jusqu'à cette dernière opération, pas moins 750 logements ont été déjà distribués au niveau du chef-lieu de wilaya et 400 logements seront distribués au début de la nouvelle année dans d'autres communes y compris Khemis-Miliana. Un groupe scolaire à Feghaïlia Feghaïlia, qui était jadis un simple hameau agricole, est en passe de devenir une importante bourgade avec l'implantation d'un groupe scolaire composé de six classes, deux laboratoires deux grandes salles de cours et d'une cantine. Cette école primaire inaugurée dernièrement par l'exécutif de la wilaya d'Aïn Defla vient de mettre un terme aux problèmes endurés par les élèves de cet hameau qui par le passé devait faire plusieurs kilomètres pour rejoindre les bancs de l'ancienne école. Moha B. Tidjellabine (Boumerdès) Les habitants de la cité “Sonatrach” crient leur détresse Les habitants de la cité dite des “60 lots Sonatrach de Tidjellabine” n'arrivent plus à supporter le calvaire qu'ils sont en train d'endurer actuellement. Dans une lettre adressée au chef de l'exécutif de la wilaya de Boumerdès, ces habitants affirment que leur cité se trouve dans un état lamentable. “Les ruelles sont inaccessibles notamment en temps d'hiver où les mares d'eau et la boue empêchent toute circulation”, disent-ils dans toute la cité dans leur lettre ajoutant que “l'éclairage public manque terriblement dans leur cité”. Les protestataires affirment que malgré les multiples démarches faites auprès de la commune de Tidjellabine et de la daïra de Boumerdès rien n'a été fait. “Les habitants sont alimentés illicitement en énergie électrique et en eau potable à partir d'une cité voisine”, ajoutent ces citoyens qui déplore le silence affiché à leurs doléances. “Face à cette situation difficile et suite à des réclamations successives auprès de notre APC et notre daïra demeurées jusqu'ici sans écho nous sommes dans l'obligation d'appeler la wilaya pour venir à notre secours”, concluent les citoyens. Nos différentes tentatives pour joindre le maire afin d'obtenir sa version sur cette situation sont restées vaines. M. T.