Derrière l'immeuble n° 12, sis à la cité Cnep des 385 logements d'Aïn Nâadja, se “manigancent” d'intrigues manœuvres d'au ras du foncier, l'“acte II” du squat d'un jardin et qu'est situé tout aussi à flanc de la façade latérale de l'édifice 11. Effectivement et à y voir de près ce qui se trame furtivement, c'est la relance en catimini d'illicites travaux qu'a interrompu l'inopinée descente d'agents de police, diligentée sans doute à la suite de la dépêche d'information intitulée “Squat d'un espace vert à la cité des 385-Logements” parue dans ces mêmes colonnes dans notre édition du 2 décembre dernier. Et s'il est vrai qu'il y a eu la disparition instantanée de l'indu-occupant, en revanche et au lieu qu'il soit ordonné “séance tenante” par la mairie de Gué-de-Constantine de la démolition du muret construit illicitement autour du jardinet, au contraire, l'enclos a été conservé en l'état pour on ne sait quelle inavouable raison (sic) au grand désarroi des riverains. En effet et depuis tout ce temps-là qu'a passé le squatteur à faire le “dos rond”, ce dernier a réapparu pour y faire voler en éclats la tranquillité de la cité au moyen de la tâche de coffrage qu'il a assemblé. Sinon, qu'“il a pris du recul pour mieux sauter, puisqu'il est revenu contre toute attente pour y couler du béton dans la fouille qu'il s'est creusée durant tout le week-end dernier”, a déclaré un riverain. Quoi qu'il en soit, c'est la preuve que l'infâme procédé dit du fait accompli a toutes les chances d'aboutir vers une éventuelle régularisation, en dépit de ce qu'a été dûment consigné par les hommes de loi sur le procès-verbal de constat et transmis au beylik compétent pour y mettre le holà. C'est tout ça Aïn-Nâadja où il suffit tout simplement d'oser pour y arriver à ses fins que justifient les moyens d'y contourner les lois de la République. Pendant ce temps et avec l'énième disparition d'un espace vert dans la localité, osons une question à brûle-pourpoint : qu'aurions-nous laissé à nos enfants ? Sinon rien ou plutôt l'hideux béton qui n'aide pas à l'épanouissement de la jeunesse. Nazim Djebahi