Le bas-côté de la ville d'Aïn El-Hammam, à 50 km du chef-lieu de Tizi Ouzou, où sont érigés plusieurs bâtiments et autres commerces, risque à tout moment de surprendre les locataires et les habitants de l'ex-Michelet. Et pour cause, des glissements de terrain sont régulièrement constatés et le risque d'effondrement de bâtisses ne serait pas exclu au rythme du mouvement de la terre. Au point où deux députés du RND, M. Mokkedem et maître Belgacem, interpellent, pour la énième fois, les plus hautes autorités du pays sur ce sinistre à ciel ouvert. Le courrier adressé à qui de droit par ces deux parlementaires est pour le moment resté lettre morte. Ce qui les a amenés à envoyer une autre correspondance au gouvernement afin d'intervenir en toute urgence.