Tissemsilt Le service de maternité sans gynécologue À l'hôpital de Tissemsilt, le manque de médecins spécialistes, notamment en gynécologie, devient un sérieux problème. Le pavillon de maternité et accouchement ne dispose, en fait, d'aucun médecin gynécologue. Même les gardes de nuit ne sont pas assistées par des médecins généralistes. Dans un service aussi important que celui des naissances, faute de disposer de médecins spécialistes, la logique aurait voulu que cette tâche difficile ( celle d'assister les femmes enceintes) soit confiée au plus expérimenté des médecins généralistes. La question de la situation socioprofessionnelle des pratiquants de la médecine se pose sérieusement. Les pouvoirs publics sont interpellés pour se pencher sur cette question vitale. L'agence Cnas organise des portes ouvertes Des journées portes ouvertes seront organisées du 19 au 24 avril 2009 par les services de la Caisse nationale des assurances sociales des travailleurs salariés (Cnas) de la wilaya de Tissemsilt sous le haut patronage du ministre de l'Emploi et de la Sécurité sociale et de la Direction générale de la Cnas Siège, à la maison des jeunes (El Mardja) à Tissemsilt et au cours desquelles le public s'enquerra des différentes procédures d'assurances sociales et les prestations de services, notamment les nouvelles mesures de la mise en service de la carte Chifa à partir du deuxième semestre de l'année en cours à l'échelle de la wilaya de Tissemsilt. ABED MEGHIT Fortes chutes de pluie en oranie Plus de peur que de mal Les Oranais ont été surpris, hier matin, par les fortes chutes de pluie qui se sont abattues sur leur ville et sur tout l'arrière pays. Comme à chaque fois qu'il pleut à verse, la cité se transforme en un véritable bourbier qui pénalise d'abord les automobilistes. Impossible de circuler sur les avenues à forte pente où les eaux qui se sont agglutinées ont paralysé quelques automobilistes. Pour l'instant, aucun dégât n'a été signalé. Comment d'ailleurs dans la wilaya de Témouchent où la pluviométrie a été estimée à 40 mm. Il va sans dire que les travaux effectués ces dernières semaines au niveau des réseaux routiers et de certains points noirs, qui ont provoqué, par le passé, des crues, ont été pour beaucoup dans l'amélioration de la situation. À Sidi Bel-Abbè, où l'on s'est remis au manteau et à la traditionnelle djellaba, la circulation dans la matinée a été particulièrement perturbée au niveau des rocades nord et sud. Dans certains foyers qui avaient dit adieu à l'hiver, on a même rallumé les bons vieux poêles. Des cités réputées inondables ont quelque peu pâti de la stagnation des eaux, car le retour du mauvais temps a cette particularité ici : il fait ressortir les tares de la voirieAvec une température de 4 degrés, si ces précipitations ont été jugées nécessaires à Tiaret pour l'alimentation des nappes phréatiques, cours d'eau et barrages pronostiquent une production céréalière prospère, il va sens dire que les agriculteurs et particulièrement ceux qui ont cultivé la pomme de terre restent sceptiques. R.S / M. L / A. B.