Avec le projet de classement de certaines aires marines à protéger en Algérie – projet lancé par le WWF et la DGF - l'écosystème marin est passé au crible en vue d'endiguer la pollution et les dégradations multiformes qui affectent notre littoral. Les scientifiques, océanographes et biologistes, pour remédier à cet état de fait, recourent à des outils de recherche tels que les radionucléides et les isotopes stables. " Ils sont utilisés pour étudier les processus environnementaux, les interactions entre l'atmosphère et les océans, les systèmes d'eau superficielles,…" soutient-on. En Algérie, ces techniques nucléaires et isotopiques permettent d'étudier la pollution marine et d'identifier les sources en vu d'en freiner l'avancée.