Après la mort du jeune Baleh Atik, tué par arme à feu mercredi dernier Azazga, alors qu'il circulait en voiture avec deux personnes dont un policier, la famille du défunt rejette catégoriquement la thèse d'une mort accidentelle. À cet effet, la famille Baleh a décidé de porter plainte hier matin contre le policier, détenteur de l'arme à feu ayant provoqué la mort de son fils. Dans une déclaration adressée au ministre de l'intérieur et dont une copie a été transmise hier à notre rédaction, la famille Baleh dira que “l'assassin a demandé au défunt de le déposer à l'hôpital d'Azazga afin de rendre visite à son père hospitalisé pendant plusieurs jours alors qu'il était déjà sorti plusieurs heures auparavant”. tout en portant des accusations contre les deux occupants de la voiture dont le policier, la famille Baleh lance un appel au ministre de l'Intérieur pour lui demander de l'aider afin que “la lumière soit faite et que la justice soit rendue”. Il est à rappeler que le policier détenteur d'une arme de service, qui a coûté la vie au regretté atik Baleh, ravi à la fleur de l'âge (29 ans), a été mis aux arrêts et l'enquête suit son cours.