Je suis un père d'une famille de quatre personnes. Mes enfants sont des étudiants universitaires. Ma pension de retraite est de 8 000 DA par mois. En date du 27/12/2001, j'ai eu la joie d'avoir un logement social par l'intermédiaire de l'APC d'El-Achour. Six mois plus tard, ma joie s'est transformée en cauchemar, à cause d'une infiltration d'eau par le plafond. Les choses n'ont fait que s'aggraver de plus en plus laissant apparaître le ferraillage de l'armature au plafond. J'ai signalé l'anomalie au service de l'Opgi, mais rien n'a été fait. J'ai adressé des lettres de réclamation avec des copies pour information aux autorités compétentes, en vain. En 2005, j'ai reçu une correspondance m'informant du motif de l'infiltration en voulant incriminer mon voisin de l'étage supérieur ayant effectué des travaux de réfection dans son appartement. Ces travaux en eu lieu en 2004 alors que l'Opgi a été avisé en 2002. Le 18/6/2007, les services de l'Opgi m'avisent que l'affaire a été introduite en justice, mais rien n' a été fait. Absence totale du service du contentieux. Il n'a même pas retiré le jugement du tribunal. Il a fallu que je lui remette une copie pour qu'il soit informé de la délibération et de charger un expert pour déterminer les causes de l'incident de 2007. À ce jour, ce service ne s'est même pas déplacé pour retirer le rapport d'expertise auprès du tribunal. Je suis en danger par rapport à l'état de l'appartement que j'occupe, vis-à-vis de ma santé et de celle de mes enfants qui se dégrade de plus en plus, à cause de la moisissure et de la corrosion de l'acier du plafond. Un danger qui me guette de jour en jour vu la rouille qui s'aggrave de plus en plus. Je me soumets à votre magistrature, Monsieur le président de la République, afin de pouvoir remédier à ce grave problème qui dure depuis 2920 jours. Hammouche Abdelhamid Cité 617 logt, Bt11 n°2 Draria-Alger