Tamalous (Skikda) Démolition de baraques L'APC de Tamalous a procédé à la démolition de plusieurs baraques et de parcs de vente de matériaux de construction illicites, selon l'APC. L'opération de démolition, qui a touché 33 points de vente illicite et effectuée durant la semaine passée, a soulevé le mécontentement des propriétaires. La prolifération des constructions illicites en bordures de routes nationales et chemins de wilaya devient un danger pour la circulation routière y compris par le recours aux dos d'âne par les riverains. C'est le cas de l'implantation récente d'un dos d'âne avant d'arriver à la localité de Saïd Mira, à partir de Collo, et qui soulève l'étonnement des usagers de cette route. Il a déjà causé un accident de la route. L'étonnement concerne le lieu, soit devant un mécanicien et de nouvelles baraques de fortune. Il aurait été préférable d'installer ce dos d'âne à l'entrée de la localité de Saïd Mira, une grande agglomération et non pas pour faire plaisir à un mécanicien en un lieu inhabité. A. Boukarine Bordj Bou-Arréridj Les moustiques envahissent la ville L'été est juste à ses débuts et déjà les insectes envahissent toutes les cités de la ville de Bordj Bou-Arréridj. Ces insectes empoisonnent la vie de la population, essentiellement les locataires vivant dans des quartiers où le cadre de vie est remarquablement déplorable alors que certaines cités sont même réputées pour la dangerosité de leurs moustiques, qui cohabitent avec les locataires tout au long de l'année, à savoir les quartiers situés aux limites des oueds. Notons que la ville de Bordj Bou-Arréridj est traversée par 5 grands oueds. Certains quartiers du centre-ville, comme le Foubourg, Lagraphe, villages Sud et Nord, les 500-Logements, 217, 473 et la cité du 5-Juillet, connaissent depuis des mois une grande prolifération des moustiques transformant leurs nuits calmes en un calvaire de chasse aux insectes. Des citoyens, rencontrés au niveau de ces quartiers, dénoncent fermement ce qu'ils qualifient de “défaillance” des services de l'assainissement de l'APC, qui “ne jouent pas leur rôle comme il se doit”. La démoustication est presque absente et, même si elle existe, elle intervient toujours tardivement. Aujourd'hui, les moustiques sont à l'origine du calvaire que vivent les citoyens au quotidien, même à l'hôpital les malades et le personnel en souffrent à longueur d'année. “Ici, les moustiques n'hibernent pas. On les trouve en hiver comme en été”, dit une infirmière rencontrée à l'hôpital Bouzidi-Lakhder. Chabane BOUARISSA Constantine Le Festival du malouf fait vibrer le Vieux Rocher “Un dictionnaire pour la musique, d'Abdelmadjid Merdaci, est disponible depuis l'ouverture du Festival national du malouf”, a précisé le directeur de la culture de Constantine, en marge du déroulement de la manifestation qui se tient dans le Vieux Rocher depuis mercredi passé. Cette troisième édition est marquée par la participation de 16 troupes dont celles venues d'Aïn Defla et de Mostaganem. La proclamation du prix du festival est très attendue. “Les trois premières troupes lauréates de l'épreuve seront sélectionnées pour participer au Festival international du malouf”, souligne le commissaire du festival. Par ailleurs, des conférences sur le malouf seront animées par Abdelmadjid Merdaci, Mohamed Oulmi et Abdelmalek Marwani. Betina Souheila