BOUZEDJAR (AIN TEMOUCHENT) Le corps sans vie d'une jeune femme rejeté par la mer Les gendarmes relevant de la brigade de Bouzedjar, lors d'une opération lundi sur le littoral témouchentois, furent attirés, aux environs de 17 heures, par la présence d'un corps humain rejeté par les vagues sur la rive de la plage de Madagh 2, communes de Bouzedjar. Le corps inerte de la victime, âgée entre 18 et 25 ans, se trouvait dans un état de décomposition très avancé. La jeune femme portait des vêtements de sport, dont un maillot noir de marque Puma au-dessus d'un autre de couleur violette, un pantalon jogging et des baskets qui portent l'inscription “Bluvenise 08”. Le corps a été transporté par les éléments de la Protection civile vers la morgue de l'hôpital d'El-Amria. Une enquête a été ouverte par la brigade pour déterminer les causes exactes ainsi que les circonstances dans lesquelles est décédée la jeune femme. BéNI-SAF (AIN TEMOUCHENT) Tentative avortée de 14 harragas Lors d'une patrouille effectuée dans la nuit du lundi à mardi au large des îles Habibas, dans la wilaya d'Oran, les gardes côtes de Béni-Saf ont réussi à faire échouer une tentative de 14 harragas qui s'apprêtaient à rejoindre les côtes espagnoles à bord d'un semi-rigide muni d'un moteur de type Yamaha. Les 14 candidats à l'émigration clandestine dont l'âge varie entre 25 et 30 ans sont issus des wilayas d'Oran, de Aïn Témouchent et de Mascara. D'après un communiqué du groupement de la gendarmerie, ces derniers ont pris le départ à partir d'une plage non surveillée “Hafr El-Djamal”, dans la commune côtière de Béni-Saf. La brigade de gendarmerie de Bouzedjar a ouvert une enquête. M. LARADJ Lumières non-stop Pour des raisons qui nous échappent, les poteaux électriques du sous-quartier de Miramar, situés entre la daïra et le boulevard Ben M'hidi, restent allumés H24. Est-elle si riche la Sonelgaz pour se permettre un tel luxe ? Enfin ! Après quatre années de galère, les citoyens qui ont squatté le jardin public de Bel Air en construisant un mini-bidonville pour s'abriter ont été enfin logés quelque part dans la banlieue d'Oran. Souvenirs Avant de quitter les lieux, les indus occupants de cet espace ont laissé à la population locale quelques petits souvenirs : des morceaux de ferraille encore plantés dans le sol et qui sont un danger permanent pour les enfants. M. M.