Les syndicats autonomes, qui avaient signé l'accord de reprise des cours avec Benbouzid, s'étaient engagés à travailler la première semaine des vacances d'hiver, histoire de rattraper les cours ratés au moment de la grève. D'ailleurs, ces syndicats doivent se retrouver aujourd'hui au ministère de l'Education pour déposer leurs propositions. Sauf que les concernés, c'est-à-dire les élèves, ne l'entendent pas de cette oreille. Et ce sont leurs parents qui sont chargés de dire haut et fort qu'ils sont opposés à l'idée de sacrifier la première semaine de vacances pour les rattrapages.