Abdelaziz Belkhadem aurait pris attache personnellement, vendredi dernier, avec certaines rédactions de journaux algériens leur demandant de ne pas le citer comme coordinateur de l'instance exécutive provisoire du “mouvement de redressement du FLN”. Le ministre des affaires étrangères aurait été tellement insistant que ses coups de fil ont suscité des interrogations chez ses interlocuteurs. Une curieuse attitude pour celui que même la très officielle APS a cité, jeudi, comme président de la réunion tenue à Djelfa et qui a débouché sur cette instance chargée d'organiser un “VIIIe congrès bis du FLN”.