AMIZOUR (Béjaïa) : Les villageois de Tadart Tamokrant protestent Les habitants du village Taddart Tamokrant, dans la localité d'Amizour (Béjaïa), viennent de mettre en avant une batterie de revendications ayant trait à l'amélioration de leur cadre de vie. En effet, les habitants de ce village ont, par la voix de leur représentant, insisté sur un manque flagrant en matière de ramassage scolaire, d'absence d'éclairage dans leur cité, de l'eau potable ainsi que l'inexistence d'un stade de proximité où les jeunes du village pourront pratiquer leur sport favori. Les protestataires disent attendre en vain un geste des pouvoirs publics. S'agissant du problème de transport pour le village Tadart Tamokrant, le premier magistrat de la commune d'Amizour a souligné que “la wilaya a promis un bus. On attend la concrétisation de cette promesse. Un stade de proximité sera inscrit au profit de ce village ainsi que la réfection de toute la conduite d'eau menant à ce village. Nous sommes là pour améliorer le quotidien de nos citoyens”. Par ailleurs, lors de sa réunion ordinaire tenue la fin du mois passé, l'Assemblée populaire communale d'Amizour a décidé, entre autres, le transfert du bus de ramassage scolaire du village Afra au village Tadart Tamokrant, l'approbation du marché portant la réalisation d'un cantonnement de la garde communale à Amizour, l'approbation des conventions de ramassage scolaire, la création d'une zone industrielle au profit de la commune et enfin l'affectation de l'école primaire Eucalyptus pour servir d'une école paramédicale. A. HAMMOUCHE Rouiba : la circonscription accueille les automobilistes par des nids-de-poule Une entreprise des travaux publics de la wilaya d'Alger a décapé l'ancien bitume sur la route reliant Rouiba à Khemis El-Khechna (CW121) dans le but de le renouveler. Une année est passée, l'entreprise a disparu et rien n'a été fait. La route s'est dégradée totalement, devenant impraticable. Une partie de la route située au niveau du barrage fixe de la gendarmerie à l'entrée de Sbaât s'est aggravée. Ces trous et des cratères obligent les automobilistes à effectuer mille et une péripéties pour passer, créant une anarchie et un encombrement monstre. Et c'est avec des trous, des cratères et des nids-de-poule que la circonscription de Rouiba, représentant l'une des plus grandes villes industrielles, souhaite à ses visiteurs la bienvenue. Nacer Zerrouki