L'emplacement de la station au cœur de cités populaires est la cause principale des problèmes, eu égard à l'augmentation constante du nombre de véhicules qui fréquentent l'endroit. Outre que cela ajoute chaque jour aux difficultés de la circulation urbaine, cela fait augmenter l'intensité des nuisances dues au bruit des moteurs et des klaxons intempestifs des véhicules stationnés. C'est une situation des plus insupportables qu'endurent les riverains de la station de bus de la ville de Médéa, du fait des nuisances sonores et de la pollution qui leur sont causées par les véhicules de transport. Les émanations de gaz émises par ces véhicules sont devenues la première source de maladies dont se plaignent les habitants des cités alentour, car souffrant de plus en plus de crises d'asthme et d'affections respiratoires. L'emplacement de la station au cœur de cités populaires est la cause principale des problèmes, eu égard à l'augmentation constante du nombre de véhicules qui fréquentent l'endroit. Outre que cela ajoute chaque jour aux difficultés de la circulation urbaine, cela fait augmenter l'intensité des nuisances dues au bruit des moteurs et des klaxons intempestifs des véhicules stationnés. Mais ce qui surprend encore plus, c'est le parc roulant de transport urbain qui est passé de quelques véhicules assurant des dessertes vers les différents quartiers périphériques, il y a encore quelques années, à plus de 200 bus de différents gabarits. Chose plus grave constatée, c'est la présence de mastodontes qui ont plus de 20 ans d'âge et qui circulent toujours, ce qui n'est pas sans constituer de véritables dangers publics pour les piétons et pour les automobilistes. On se demande d'ailleurs pourquoi on continue à autoriser l'exploitation de ce genre de moyens de transport en laissant circuler des modèles anciens et vétustes. D'ailleurs, des rixes entre transporteurs et riverains de la station sont souvent observées pour des raisons liées à l'usage abusif des accélérations des moteurs qui envoient leur gaz d'échappement à l'intérieur des appartements. Les bruits et les klaxons sont aussi les autres facteurs dont se plaignent les habitants qui n'ont plus de possibilité de se reposer chez eux. Les enfants en bas âge et les personnes âgées sont quotidiennement dérangées, ne connaissant plus le confort de la vie normale pendant presque 20 heures par jour. Les habitants de la cité souhaitent qu'une solution soit rapidement trouvée à leur calvaire, suggérant que la station soit délocalisée vers un autre endroit ou au moins avec un allégement de certaines dessertes et tout en ne permettant pas l'exploitation des véhicules vétustes et de grands gabarits, source de tous les maux et de tous les dangers.