À la cité Cnep des 385-Logements d'Aïn Naâdja, dans la commune de Gué- de-Constantine, il y a un espace vert situé en bas des façades d'immeubles E/12 et E/11, qu'un… “squatteur” tente de s'approprier au mépris des lois urbanistiques et des règles de bon voisinage. En effet, se prétendant comme propriétaire d'un local commercial dont la situation juridique est aussi discutable, ce monsieur ne cache pas son intention d'accaparer ce jardinet qui est limitrophe à son prétendu bien afin d'ouvrir une station de lavage sans qu'il y ait au préalable une enquête commodo et incommodo. Pour ce faire, il s'astreint, à l'heure qu'il est, à la reconstruction d'une clôture le long du périmètre de cet espace vert, après qu'il eut déblayé le terrain. Pour rappel, ce monsieur qui n'en est pas à sa première tentative de squat a été mis en demeure une première fois par l'autorité d'Aïn Naâdja qui lui a signifié d'arrêter les travaux pour lesquels il n'a pas l'autorisation du permis de construire. Mais, peu importe la réglementation, voilà qu'il réapparaît une seconde fois et s'échine à parachever aussi vite l'illicite construction, histoire de mettre l'autorité devant le fait accompli, sinon au pied du mur. Doit-on laisser faire le squat d'un bien collectif qui ne doit profiter, en réalité, qu'aux enfants qui n'ont pas où jouer ?