Réceptionnées lors de cette rentrée universitaire, la cité des garçons de Boudouaou-El-Bahri et celle des filles de Corso ne disposent pas d'ambulance malgré l'existence d'unité de prévention médicale sur place. Au vu de l'éloignement des structures sanitaires d'accueil ou du CHU, dont la plus proche est située à Boumerdès sur une dizaine de kilomètres. L'évacuation des cas urgents risque évidemment d'en pâtir. La cité 2 000 lits des garçons de Boudouaou-El-Bahri souffre en outre de l'absence d'un réseau Internet et d'un groupe électrogène, quand on sait que la région est confrontée le plus souvent à des coupures fréquentes d'électricité.