Après vingt jours de repos forcé, la JSK a mis les bouchées doubles, depuis quelques jours, pour préparer son match face à l'ASO prévu ce lundi au stade du 1er-Novembre. Pour preuve, les Canaris se sont entraînés durant tout ce week-end, soit jeudi après-midi, puis hier après-midi pour se remettre sérieusement en jambes. On note l'absence des trois internationaux : Gaouaoui, Zafour et Raho, retenus en équipe nationale, alors que Larbi et Belgherbi ont eu droit à quelques jours supplémentaires de repos. Par ailleurs, l'attaquant Rachid Benayen, qui avait prolongé plus tard que prévu son séjour en France, au grand désappointement de ses dirigeants, a fini par rejoindre Tizi Ouzou jeudi après-midi et devait ainsi reprendre le chemin de l'entraînement hier après-midi avec le reste du groupe. L'autre satisfaction de la JSK réside dans le fait que son avant-centre, Hamid Berguigua, blessé depuis le début de saison, a repris enfin le chemin de l'entraînement et s'est même permis le luxe de retaper dans un ballon au grand soulagement du kiné, Rachid Abdeldjebar, et du staff technique de la JSK, toujours aussi soucieux de récupérer cet attaquant exemplaire et de renforcer le compartiment offensif et ce, en attendant le mercato d'hiver où la venue de deux attaquants africains est imminente. À ce titre, l'on croit savoir que le transfert des deux attaquants du Coton-Sport de Garoua, le Libérien Roberts Sessay et le Congolais John Edzanga, auraient même signé des pré-contrats au profit de la JSK même si le recrutement d'un attaquant nigérian est toujours d'actualité. C'est dire que la piste Meçabih semble s'éloigner de plus en plus dans la mesure où l'ex-avant de l'USM Blida n'aurait pas confirmé par écrit sa déclaration d'intention d'opter pour la JSK comme l'a exigé fermement le président Hannachi. “Nous avons ciblé plusieurs candidatures et nous prendrons la décision qui s'impose au moment opportun”, a avoué hier le président Hannachi. “Les joueurs du Coton-Sport nous ont affirmé plusieurs fois leur désir de jouer à la JSK, mais Meçabih semble traîner encore en longueur. Tant pis pour lui”, dira encore Hannachi. M. H.