Mascara : 24 heures après sa libération, il retourne en prison Après avoir purgé sa peine, un jeune homme âgé de 37 ans a retrouvé la liberté. Néanmoins, 24 heures après, il est arrêté de nouveau par les services de sécurité pour tentative de meurtre sur son ex-épouse. En effet, le jeune homme armé d'une hache s'est présenté vers minuit au domicile de son ex-femme, âgée de 28 ans, et a tenté de l'agresser. Par ses cris stridents, la victime a pu réveiller les voisins qui ont accouru pour lui venir à l'aide. L'agresseur est parvenu à prendre la fuite à la faveur de l'obscurité. Identifié, il a été arrêté par les agents de police et présenté devant le procureur de la République qui a émis un mandat d'arrêt à son encontre en attendant sa comparution devant la cour criminelle pour tentative de meurtre. A. B. MAGHNIA : La brucellose pousse à l'interdit Une pratique des plus illicites qui risque de porter sérieusement préjudice à la santé publique est en cours à Maghnia suite à plusieurs cas de brucellose signalés dans la région. Aussitôt les foyers localisés par le vétérinaire, les propriétaires des espèces bovines touchées, et dont le lait est un danger pour le citoyen, n'ont pas trouvé mieux que de les vendre à des individus qui se sont spécialisés dans l'abattage clandestin et qui écoulent cette viande tout aussi illicitement auprès de bouchers ou directement aux consommateurs sur les marchés. AMMAMI Mohammed Sidi Bel-AbbÈs : 28 personnes intoxiquées par le kebab Vingt-huit personnes ayant consommé du kebab ont été hospitalisées au service des UMC du CHU Abdelkader-Hassani. Les victimes présentaient des signes cliniques d'empoisonnement alimentaire et souffraient de maux de ventre aigus, de vomissements et de diarrhées. Elles ont été placées sous contrôle médical intensif avant de quitter l'hôpital. Alertés, les services de la DCP se sont rendus sur les lieux où des échantillons ont prélevés sur le kebab incriminé pour le besoin d'analyses bactériologiques. A. BOUSMAHA Béchar : La ville dans le noir dès la nuit tombée À l'exception de quelques cités du chef-lieu de la wilaya de Béchar, les quartiers populaires et même le centre-ville accusent un déficit flagrant dans le domaine de l'éclairage public. Dans certains endroits, c'est l'obscurité totale. La double voie du boulevard Colonel-Chabou, qui demeure la principale rue de la capitale de la Saoura, très fréquentée du reste par les cortèges nuptiaux, est depuis plusieurs semaines dans une obscurité presque générale. Le manque d'éclairage public oblige les habitants de ces quartiers oubliés à rentrer tôt le soir. Même les chauffeurs de taxi refusent de s'y aventurer. Cette situation de négligence favorise l'insécurité et la constitution de meutes de chiens errants, qui font peser une menace certaine pour les retardataires. Contacté, un habitant du quartier Haï Salem a affirmé que les locataires de cette cité ne demandent pas de nouveaux points lumineux, mais seulement l'entretien permanent et sérieux des points existants. Les responsables locaux justifient la défectuosité du réseau d'éclairage public par le manque d'effectif dans le service chargé de cette mission. Par ailleurs, un président d'une association de quartier nous a déclaré que rien ne justifie ce déficit en éclairage public, d'autant plus que l'argent ne manque pas. ROUKBI R. Saïda : Le “printemps arabe” de la commune de Balloul Les habitants des quartiers ouest de la commune de Balloul, relevant de la daïra de Ouled Brahim, dans la wilaya de Saïda, ont procédé, dimanche dernier, à la fermeture de la RN94 reliant Saïda à Tiaret pour protester contre la dégradation de leurs quartiers et la non-prise en charge de leurs doléances par les pouvoirs publics. Les protestataires rappellent leurs principales revendications, à savoir l'assainissement des routes et l'aménagement de leurs quartiers. Il est à noter que des responsables locaux ont tenté une médiation mais cette dernière a échoué. F. Z.