Résidence universitaire de Boumerdès : Réception en l'honneur des travailleurs et des journalistes Une réception a été organisée avant-hier par la direction des œuvres sociales universitaires de Boumerdès, en l'honneur des travailleurs de l'université et de la résidence mais aussi des journalistes, à l'occasion de la fête des travailleurs et de la Journée mondiale de la presse. Des cadeaux et des prix d'encouragement ont été remis aux travailleurs et à trois de nos confrères de la presse écrite, de la radio et de la télévision. Lors de cette fête animée par Mourad Djaâfri et un groupe de musique de l'université, un grand hommage a été rendu à l'ancien directeur de la résidence Ali Abbad de Boumerdès mais aussi à ammi Slimane Sahraoui, responsable de l'ONM. Cette louable initiative a été chaleureusement accueillie par les travailleurs et par de nombreux étudiants présents à cette cérémonie. M. T. Cité AADL de Koléa : Des heureux et des mécontents La remise des clefs du programme AADL de Koléa sur le site du “Citronnier” connaît ses premiers instants de joie pour les souscripteurs, mais aussi premiers accrocs pour les recalés. L'un des mécontents, souscripteur depuis 2001 à ce type de logement, n'est pas tendre envers les responsables de l'AADL, plus particulièrement des commis de l'antenne locale de Koléa, qu'il accuse nommément d'avoir “rangé son dossier dans les tiroirs”. Apostrophant le journal Liberté, à qui il remet une copie d'une lettre de réclamation destinée aux plus hautes autorités de l'Etat, il s'exclame : “Les appartements AADL sont occupés par leurs propriétaires et moi j'en suis encore à courir de service en service, et de direction en direction afin que mon rêve ne parte pas en fumée”. “Ayant demandé les suites réservées à mon dossier d'acquisition d'un logement selon la formule de la location-vente AADL, raconte notre interlocuteur, on m'a tout simplement expliqué au niveau des services de l'AADL que mon dossier a été soi-disant égaré”, clame Ahmed B., la cinquantaine, originaire de Koléa, qui nous montre des documents originaux attestant qu'il a bel et bien payé rubis sur l'ongle 140 000 DA sur le compte BNA agence de Koléa, au titre de la 1re tranche du montant d'un F3 auquel il a pu prétendre après des années d'attente. Déjà en 2005, lors de la distribution du premier quota d'appartements AADL de Koléa et qui a fait couler beaucoup d'encre à l'époque, ce demandeur se voit recalé mais tout de même destinataire d'une notification d'attribution sur le site du “Citronnier”, un quartier de la ville de Koléa, qui a été choisi pour abriter le 2e et dernier quota de construction de cette formule d'aide au logement. Ceci, en plus d'une histoire de procédures administratives qui ont retardé la fin du chantier, l'année en cours est plus que longue, puisqu'il a été décidé de filtrer les dossiers. “Il y a d'autres cas comparables au mien”, s'écrit ce souscripteur, qui hésite entre une vingtaine ou une cinquantaine de postulants mécontents, et de nous exhiber en guise de conclusion une correspondance lui expliquant à demi-mot qu'il ne faisait plus partie des privilégiés de la formule AADL au motif qu'il était déjà “éligible” à une quote-part d'héritage dans l'indivision de 40 m2 et qu'il devait, devrait-on comprendre, s'en contenter. Mohammed Djamel AIn Defla : Une personne tuée dans une rixe à Tacheta Un adolescent a été tué, avant-hier, dans la commune de Tacheta (daIra d'El-Abadia), par son ami à la suite d'une rixe qui a éclaté entre eux, à cause d'une histoire de portable, indique notre source. Selon la même source, la victime a reçu plusieurs coups mortels à la poitrine. Le corps de la victime a été évacué à l'hôpital de Sidi Bouabida, précise-t-on. Le criminel, qui s'est rendu compte finalement de son forfait, a été arrêté par la gendarmerie d'El-Attaf à l'hôpital, souligne-t-on. B. BOUZAR Grève des transporteurs à Tiberkanine Les transporteurs publics assurant la desserte Tiberkanine-El-Attaf observent depuis trois jours un arrêt de travail. Ils demandent l'augmentation des tarifs des tickets, de 10 à 15 DA, ce qui aurait été refusé par les autorités compétentes. Devant ce débrayage, les lycéens, notamment ceux inscrits à El-Attaf, sont lourdement pénalisés à l'approche des examens. À cet effet, la population rurale reste à la merci des clandestins qui dictent leur loi en matière de tarifs. B. BOUZAR