D'après le quotidien londonien Al Qods Al Arabi, le Palais royal marocain aurait cédé aux pressions américaines en acceptant de revenir sur sa décision de retirer sa confiance à l'émissaire Christopher Ross. D'après le quotidien arabophone paraissant à Londres, Samuel Kaplan, l'ambassadeur des Etats-Unis à Rabat vient d'affirmer qu'il était “difficile de prévoir l'évolution de la situation politique au Maroc". Quelques jours plus tôt, le diplomate américain faisait savoir aux médias marocains que les Etats-Unis soutenaient l'émissaire onusien au Sahara Occidental pour qui, Christopher Ross est plus qu'un émissaire d'après Kaplan, puisqu'il représente également le Parti démocrate, celui d'Obama et le pôle planificateur de la politique américaine dans la région. Kaplan a révélé que lui-même devrait quitter le royaume chérifien si Barack Obama venait à ne pas à être réélu.