“Nous appelons les militants et cadres du FFS à une rencontre nationale le 5 janvier 2013 à Tizi Ouzou. Le lieu exact et l'horaire seront communiqués par le comité d'organisation", a indiqué, hier, un communiqué signé par Mustapha Bouhadef et Djamel Zenati. Estimant que cette “rencontre s'inscrit dans le cadre de la dynamique de rassemblement initiée au lendemain du faux scrutin du 10 mai 2012", les signataires considèrent qu'après “la décision de Aït Ahmed de ne pas se représenter lors du prochain congrès au poste de président du FFS, c'est aux militantes et aux militants de décider démocratiquement et dans la collégialité de l'avenir de leur instrument historique de lutte démocratique". Et de conclure : “La responsabilité exige de nous tous de dépasser les querelles stériles et les divergences secondaires pour nous hisser à la hauteur des enjeux politiques historiques : construire une grande force politique capable d'imposer un changement radical et pacifique dans notre pays".