TipaSa : La Sûreté de la wilaya honore les journalistes La Sûreté de la wilaya de Tipasa a honoré, jeudi dernier, les journalistes et les correspondants locaux de la presse écrite et de la radio locale au siège de la wilaya. Cette initiative de la Sûreté de la wilaya de Tipasa a été fortement appréciée par les journalistes, à l'occasion de la célébration de la Journée mondiale de la liberté de la presse, et ce, en présence des officiers supérieurs de l'ANP et de la gendarmerie. Des cadeaux symboliques ont été remis aux correspondants locaux. B. BOUZAR Zemmouri : Des médicaments périmés abandonnés dans un container Un stock de médicaments périmés d'une valeur de 1,3 milliard de centimes a été découvert dans l'ex-centre de santé de Zemmouri. Ce stock constitué de 100 000 boîtes de Denfluor un médicament préventif contre la carie dentaire se trouvait dans container et entreposé dans ce centre utilisé depuis un mois par la Cnas de Boumerdès. Selon nos informations, ces médicaments dont la date de préemption est fixée à l'année 2010 ont été acquis en 2008 par la direction de la santé de Boumerdès auprès de la Pharmacie centrale des hôpitaux. Ils devraient être distribués aux pharmacies des hôpitaux et des EPSP de la wilaya. Ce qui n'a pas été fait. Beaucoup d'interrogations sur cette affaire qui prend l'allure d'un véritable scandale. Une enquête a été ouverte par la police judiciaire de la wilaya. De nombreux responsables vont été interrogés incessamment. Nos multiples tentatives pour connaître la version du directeur de la santé de wilaya et du premier responsable de l'EPSP de Boumerdès sont demeurées vaines. M. T. ETR BéJAïA : Quand les deux parties se parlent par presse interposée La direction de l'ETR (Entreprise des travaux routiers) de Béjaïa rassure, dans un communiqué transmis à notre rédaction, que les points consignés dans le procès-verbal ayant sanctionné la réunion du 5 mars dernier entre la SGP-TP Sintra et l'Union locale UGTA seront satisfaits. “Le comité de suivi, SGP-Sintra et l'ETR, d'une part, et la fédération du bâtiment et travaux publics, l'union locale de l'UGTA Béjaïa, d'autre part, ont prévu d'accompagner ces mesures et traiter de tous les problèmes pouvant survenir jusqu'à la stabilité totale de l'entreprise", a-t-on assuré. On a invité ensuite les travailleurs mécontents de l'entreprise “au dialogue et à la concertation autour des véritables problèmes", pour permettre à l'entreprise, a-t-on précisé, de retrouver sa place dans l'activité des travaux publics. La direction de l'ETR Béjaïa a appelé les travailleurs grévistes à modérer leurs propos, car leurs déclarations publiques ne font qu'éloigner “davantage les pourvoyeurs des plans de charge". Sur les salaires impayés aux travailleurs grévistes, le premier responsable de l'ETR a indiqué qu'il “ne peut pas payer 11 mois de salaires de grève", jugée selon lui “illégale". Pour rappel, les représentants des travailleurs de l'ETR ont indiqué dans un communiqué transmis à la presse que le DG se refusait à “toute forme de dialogue", une fin de non-recevoir à l'origine, selon eux, du mouvement de grève des travailleurs, qui avait duré plus de 11 mois. Pour la section syndicale, il n'y a aucun doute : cela favorise l'émergence d'un “climat d'instabilité au sein de l'entreprise". Et à l'adresse de la tutelle, les membres de la section syndicale se sont déclarés déterminer “à user de toutes les lois que leur confère la réglementation en vigueur pour faire aboutir leurs revendications", qu'ils jugent légitimes. M. Ouyougoute Nom Adresse email