Sous le coup d'un mandat d'arrêt international, le nom de Chakib Khelil, ancien ministre de l'Energie et des Mines, ne figure toujours pas sur la liste des personnes recherchées par Interpol, avons-nous appris, jeudi à Oran, auprès d'une source autorisée, en marge de la Conférence africaine d'Interpol. Selon cette dernière, "aucun mandat d'arrêt international n'a été délivré par Interpol à l'encontre de Chakib Khelil", effaçant d'un trait certaines informations faisant état d'une procédure de recherche internationale lancée contre l'ancien ministre. Les procédures judiciaires qui doivent reposer sur des commissions rogatoires pour enclencher toute opération de mandat international émis par Interpol obéissent à une série de canevas perfectibles dont le passage obligé par le secrétariat général d'Interpol basé à Lyon (France), et ce, sur demande formulée par le bureau national d'Interpol afin qu'une personne soit recherchée en vue de son extradition. Le parquet général du tribunal de Sidi-M'hamed, à Alger, a adressé une vingtaine de commissions rogatoires dans plusieurs pays d'Europe, dont les Etats-Unis et Dubaï. K. R.-I. Nom Adresse email