Animant un point de presse, hier, en marge de la rencontre nationale des élus de Tajamou Amal El-Jazaïr (TAJ), Amar Ghoul, président du parti, a évoqué, cette fois-ci, l'immigration clandestine, ou harga. Dans sa plaidoirie, il a mis l'accent sur les périls qui guettent ces jeunes candidats à l'immigration. Il accuse, dans ce sens, les initiateurs de ce qu'il appelle "les voyage organisés vers l'enfer". "Vous n'avez rien à faire en Europe, ils sont en crise, ils ferment leurs usines", a-t-il tenté de convaincre, tout en reconnaissant qu'en Algérie, "beaucoup de manques poussent ces jeunes à l'aventure". Il a, par ailleurs, informé que son parti allait mettre sur pied plusieurs nouvelles structures. Il s'agit d'un conseil national dédié à la femme et à l'enfance. Un autre pour les jeunes et, enfin, un troisième pour les élus du parti. à signaler que lors de la rencontre, le président de Taj a honoré trois personnalités. Il s'agit du défunt journaliste Omar Ouartilane, d'El Khabar, assassiné en octobre 1995. D'un ancien maquisard, Arezki Basta, et un jeune universitaire. Selon lui, la politique adoptée par son parti s'appuie sur un slogan qui n'est autre que "La fidélité aux hommes et aux institutions". R. N. Nom Adresse email