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Des signaux contradictoires
RISQUE POLITIQUE EN ALGERIE
Publié dans Liberté le 24 - 11 - 2002

La perception du risque Algérie par les pays occidentaux connaît aujourd'hui des fluctuations. En clair, des signaux contradictoires sont émis sur la sécurité des biens et personnes dans le pays.
Première vision : Le journal Le Monde dans son édition du 18 novembre rapporte que le cabinet anglais Control Risks groupe qui dresse un bilan des risques de sécurité encourus par les entreprises dans le monde. Une sorte de géographie des zones d'instabilité, “étudiée chaque année par les multinationales”. Dans cette carte, l'Algérie est considérée comme un risque élevé au même tire que le Kosovo, le Yémen, le Pakistan, l'Indonésie, le Koweït, le nord et l'est de l'Albanie, le nord-est de l'Inde.
La tchétchénie, le sud du Soudan, le Burundi, l'Ouzbékistan nord-est de la république du Congo, la Somalie figurent pari les pays à risque extrême. Dans la zone Afrique du nord, Moyen Orient, le Maroc, la Tunisie, la Lybe, l'Egypte sont par exemple classés pays à risque faible.
Cependant, en cas de frappes américaines contre l'Irak, tous les pays du Proche-Orient vont allonger la liste des zones (risque accru) à risque élevé. En contrepoint, les avertissements notamment du département d'état américain, et du quai d'Orsay déconseillant à leurs ressortissants de se rendre en Algérie semblent aller dans le même sens.
A l'opposé, des compagnies pétrolières internationales présentes en Algérie estiment que le risque est gérable.
Dans la même foulée, les conclusions préliminaires d'une enquête réalisée par la banque mondiale auprès des chefs d'entreprises, en particulier ceux des filiales des sociétés étrangères indiquent que pour ces firmes de façon générale, les questions de sécurité des biens et des personnes ne constitue pas une contrainte majeure.
En tout état de causes l'implication plus importante en Algérie de pays dits amis : en particulier de la Chine, Liban, de l'Egypte le confirme. On n'est plus dans la situation des années 90. Les progrès dans al lutte antiterroriste y ont contribué.
Mais il y a toujours problème. Tant que les massacres se poursuivent, tant que les attentats continuent, il est clair qu'il ne faut pas s'attendre à une amélioration nette du classement de l'Algérie.
Le chemin qui mène à une meilleure perception passe donc, quitte à le rappeler par la maîtrise totale de la situation sécuritaire. C'est encore une condition nécessaire mais non suffisante.
Car il convient parallèlement d'améliorer le climat d'ensemble des affaires : débureaucratiser les administrations concernées ; faciliter les procédures aux investisseurs, disposer d'une justice compétente objective ; lutter contre la corruption et les pratiques commerciales ; stabilité juridique du dispositif institutionnel.
En résumé, sur la question du risque politique en Algérie, des signaux contradictoires sont émis.
Ce qui pourrait conduire à des hésitations de la part des investisseurs étrangers. Ces derniers seront tentés de s'intéresser qu'au commerce, du moins qu'aux créneaux à fort taux de rentabilité, tels que le secteur pétrolier.
D'où des efforts à la fois internes mais également externes de marketing de l'Algérie et là, les ambassades ne fonctionnent pas pour servir des intérêts particuliers mais pour défendre l'image du pays.
N. R.
TRANSPORT URBAIN
L'Etusa veut redorer son blason
L'Entreprise des transports urbains et suburbains d'Alger (etusa) compte redorer son blason, à la faveur des mesures mises en œuvre en 2002, par le gouvernement pour doter Alger d'un parc de transport capable de répondre à l'attente des citoyens. Selon la direction générale de l'etusa, trois mesures radicales ont été prises récemment, à savoir l'engagement d'une garantie du Trésor pour l'acquisition de 64 autobus, la transformation du statut judirique de l'etusa en établissement de service public (epic) placé sous tutelle de la wilaya d'Alger et enfin la subvention des missions de sujétion.Il convient dans ce cadre de signaler l'échéancier de réception des 64 autobus, objet d'un contrat avec la firme belge Van Hool : 21 bus (dont 2 articulés) réceptionnés fin octobre 2002, la réception de 20 bus prévue début décembre 2002 et enfin 23 bus à réceptionner en janvier 2003. "l'etusa est enfin dotée d'un service de transport urbain à sa mesure", affirme la direction générale de l'entreprise.
Le renforcement de l'etusa intervient également dans le cadre de la mise en œuvre d'une convention de coopération algéro-belge qui comporte un don de 360 millions de dinars, dont la mise en œuvre entre dans sa phase active. Cette convention spécifique porte sur la modernisation des ateliers de maintenance (trois ateliers), l'amélioration des capacités techniques et de gestion du personnel par la mise en place d'un centre de formation, la réhabilitation et les grandes révisions du parc autobus de marque Van Hool.


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