"Les présidents de club, la Fédération algérienne de football et le ministère de la Jeunesse et des Sports sont convenu de l'arrêt de l'endettement et d'une meilleure gestion de la masse salariale. Il a été décidé d'élaborer une grille des salaires avec un plafonnement assorti de l'obligation de s'acquitter des impôts et des cotisations sociales (Cnas...). Une commission composée de présidents de clubs et présidée par celui de la LFP examinera le sujet et fera des propositions, à mettre en œuvre dans les meilleurs délais." Telles ont été les décisions de la réunion entre la FAF, le MJS et les présidents de club de L1, mardi dernier à Sidi Moussa. Pour en savoir plus sur la décision du plafonnement des salaires des joueurs, nous nous sommes rapprochés du gardien de but international de l'USM Harrach, Azzedine Doukha. Pour l'ancien gardien du MOB et du MCA, le plafonnement des salaires ne peut s'effectuer en Algérie, car chaque joueur possède sa propre valeur et seul le marché des transferts peut décider de la valeur réelle du joueur comme cela se fait partout dans le monde. "Je suis contre le plafonnement des salaires, car chaque joueur a sa propre valeur et seul le marché décidera de la valeur réelle des joueurs, c'est tout comme en Europe", nous dira l'ancien keeper du Vittoria Setubal qui n'a pas voulu trop s'attarder sur le sujet préférant dire que le plafonnement ne se fait nulle part au monde, alors pourquoi l'appliquer en Algérie. N. A. Nom Adresse email