Après que Lotfi Double Kanon eut commis une chanson au vitriol et au titre évocateur de Kiw, kiw, fakou, fakou el-fakakir, fustigeant le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, voilà que son ancien comparse annabi, Azzou Hood Killer, de s'en prendre violemment au pionnier du rap algérien qu'il compare à un "mufti" et qu'il accuse d'utiliser la religion pour en faire un "business". Bien qu'on soit loin de la chanson engagée, la prochaine campagne électorale s'annonce très rythmée et pourrait bien se dérouler en chansons avec pour chaque candidat son chanteur attitré. Nom Adresse email