Un élu, avocat de profession, vient de piéger le maire d'Oued Tlélat en pleine assemblée, en présence de la presse et des citoyens, à propos des travaux de ravalement de la façade de l'ex-agence foncière locale en peinture vinylique. Le P/APC affirme à l'avocat que les travaux ont été réalisés gratuitement par une entreprise privée. L'avocat, contre toute attente, surprend son président en exhibant la facture datant de septembre 2013 et des photos prouvant le contraire. De son côté, le comptable affirme que l'entreprise réalisatrice a été bel et bien payée. Plus grave encore, la facture montre une surfacturation exagérée, puisque la façade de l'édifice ne dépasse 500 m2, alors que sur la facture la superficie mentionnée est 2669,49 m2, et le service fait est assuré par le 1er vice-président à la place des services techniques. Face à cet énième abus, l'élu exige une enquête. "J'exige une enquête, car je suis un homme de loi et je ne peux cautionner ces abus", insiste-t-il. Après l'affaire du jardin public, et bientôt celle des subventions octroyées illégalement à certaines associations que plusieurs élus ont refusé d'approuver, l'APC entre dans une nouvelle phase de turbulences. D'autres révélations sont attendues concernant les marchés morcelés et transformés en conventions. N. B. Nom Adresse email