À la veille de la rentrée scolaire 2004–2005, des commerçants sans scrupule, spéculateurs de produits scolaires en l'occurrence, investissent les artères des grandes villes et mettent la pression sur les commerçants légaux. Ainsi, il y va des prix des articles scolaires (cahiers, livres, trousseaux…) jusqu'aux effets vestimentaires comme les blouses. Selon nos sources, des brigades de lutte contre ces commerces informels sont mises sur pied pour saisir toute marchandise non déclarée. Cette dernière sera versée en totalité dans les stocks destinés à la solidarité nationale au profit des enfants nécessiteux.