A l'arrêt depuis le 19 janvier dernier, suite à l'explosion qui avait soufflé une partie du complexe GNL (GL1K), l'unité 50 —sérieusement endommagée— a pu être redémarrée grâce aux efforts consentis par les travailleurs qui ont pris en main leur destin, et en collaboration avec les services techniques et les gérants de cette unité de production. La remise en état de la chaudière de 60 tonnes est venue à point nommé pour combler la défection de celle de 100 tonnes qui, elle aussi, a subi dernièrement d'importants dégâts et dont le remplacement s'avérait nécessaire, voire urgent. L'unité 10, et, à un degré moindre l'unité 6 attendront encore un peu plus de temps pour être redémarrées. Des techniciens soutiennent que leur remise en fonction pourrait être accélérée avec le rétablissement de la chaudière endommagée.