Sonatrach table sur la mise en service d'ici à 2019 d'une vingtaine de gisements. Citons Bir Sbaa (pétrole) en partenariat avec Petrovietnam, Bir Msena (pétrole) avec Petronas et HESS en 2015, Touat (gaz et condensat) en partenariat avec Gaz de France, Timimoun (gaz en partenariat avec Total et Cepsa), Reggane Nord (gaz) en partenariat avec Repsol, Ahnet (gaz), Hassi Mouina, Hassi Ba Hammou (gaz), Tikidelt et Akabli (gaz, les quatre derniers gisements, situés au sud-ouest seront exploités par Sonatrach seule), les champs de pétrole du pourtour de Hassi-Messaoud, satellites MLSE (gaz naturel), El-Mzaid (pétrole avec CNPC), Issarene (gaz naturel et condensat avec Petroceltic et Enel), CAFC (pétrole avec Eni), Bourrahat Nord 5 (gaz avec Medex), Gara Tesselit (pétrole, gaz naturel et condensat), Rhourde El-Baguel (GPL), Tinhert (pétrole, gaz naturel, condensat). La grande majorité de ces gisements entrera en production entre 2016 et 2018. Avec ces champs, la production de pétrole et de gaz va sans doute augmenter. Si ces gisements sont mis en service dans les délais, l'Algérie pourra honorer ses contrats, renouveler les contrats gaziers qui arriveront à échéance durant cette période. Mais pour combien de temps ? K. R.