En cette période de vacances, la demande sur les allocations touristiques est assez grande. Du coup, les banques peinent à satisfaire les requêtes. Des citoyens, qui se préparent à partir à l'étranger font deux, parfois trois banques avant de pouvoir déposer leurs passeports et obtenir le change au cours officiel à hauteur de 15 000 DA et des poussières. Là où ils sont refoulés, on leur invoque un manque de liquidités en monnaie étrangère, essentiellement l'euro. La situation dure depuis la mi-juillet, soit la fin du Ramadhan et, par conséquent, le début des départs en vacances.