Des entreprises de bâtiment et des bureaux d'études en architecture, ayant participé à la réfection des habitations touchées par le tremblement de terre du 21 mai 2003, n'ont pas obtenu de compensations financières depuis plus de trois mois. L'Office de promotion et de gestion immobilière (OPGI) de Dar El-Beïda avec laquelle ils ont conclu les marchés n'a toujours pas rempli sa part du contrat. La raison invoquée aux prestataires a trait au blocage du compte de ladite OPGI par la Caisse nationale du logement (CNL).