Un taux de réussite de 51,58 % au BEM 51,58 % est le taux de réussite au BEM dans la wilaya de Bouira, selon les indications du directeur de l'éducation, M. Rachid Benmessaoud. Le nombre de candidats et candidates inscrits à cet examen est de 10993 dont 16 candidats libres, encadrés par 1852 surveillants et 45 observateurs. Les reçus sont au nombre de 5646, dont 26 lauréats ont obtenu une moyenne de 18 et 19, et 108 candidats ont décroché les mentions "excellent" et "très bien". Nous signalons également d'après ce responsable que 1044 candidats ont obtenu des notes de 9 et 9,99, et ont raté de si peu la moyenne minimale de10 qui leur aurait permis la réussite à l'examen du BEM. Autrement, le taux de réussite aurait été plus important et serait passé à 62%. Cependant, par rapport aux taux de réussite de l'année dernière, il a été remarqué une petite évolution d'un point, selon le directeur de l'éducation. Par ailleurs, nous saurons que des recommandations très strictes ont été formulées aux responsables des centres d'examens du baccalauréat, pour sanctionner avec toute la fermeté , toute tentative de triche aux épreuves, qu'elle émane des candidats ou d'autres intervenants. Farid Haddouche Le CW 21 étirement délabré Les habitants des villages Ouled Ali, N'memcha, Dj'babla, Ouled Boudiaf et El Merdja, déplorent l'état de délabrement du CW 21, qui traverse leur village et les relie à leur chef-lieu de commune Oued El Berdi. Ils affirment que sa dégradation s'est accentuée depuis l'implantation d'une carrière d'agrégats à proximité de la commune d'Oued El Berdi, que des poids lourds empruntent. En conséquence, l'étendue de la détérioration de ce CW s'est accentuée jusqu'à toucher même les accôtements. Pour ces raisons, les citoyens interpellent les services concernés afin que des travaux soient lancés pour la réfection de cet axe routier. F. H. Les villageois de Touta réclament leur part de développement Les habitants du village de Touta dans la commune de Dirah, au sud de Bouira, font part de leur malvie et de la marginalisation de leur village, qui n'est pourtant distant que de 2 km du chef-lieu de leur commune. D'après eux, leur bourgade n'est toujours pas raccordée au réseau de gaz naturel. Pareillement, pour l'eau potable arrive à leur manquer bien qu'un château d'eau ait été réalisé. Il y a aussi l'état de la route qui unit leur village à la commune de Dirah, qui se trouve tellement défectueuse qu'elle est difficilement praticable. Le chômage ronge également les jeunes du village, qui réclament des postes d'emploi dans la mesure du possible dans la société nationale de prospection pétrolière (SNPP) installée à proximité du village. D'autre part, il y a des villageois qui ont bénéficié des soutiens financiers dans le cadre du dispositif du logement rural, cependant, les logements construits ne sont pas raccordés aux réseaux d'électricité et du gaz. F. H.