Donald Trump a reconnu mercredi "officiellement Jérusalem comme capitale d'Israël", rompant avec des décennies de diplomatie américaine et internationale. Le président américain a revendiqué "une nouvelle approche" sur le conflit "israélo"-palestinien, assurant tenir une promesse que ses prédécesseurs ont "échoué" à respecter. L'annonce de Trump survient en dépit des condamnations dans les termes les plus forts des Palestiniens et la communauté internationale. Lire également l'article de "Liberté" en cliquant ICI Un peu plus d'une heure environ avant son discours, Donald Trump, a estimé qu'une décision sur ce sujet aurait du être prise "depuis longtemps". Capture écran de la iffusion du discours de Trump sur la CNN "Nous avons une annonce importante à faire (...) et je pense qu'elle aurait dû être faite depuis longtemps", avait-il déclaré. "Beaucoup de présidents ont dit qu'ils feraient quelque chose et ils n'ont rien fait", a-t-il ajouté, dans une allusion à la promesse de plusieurs de ses prédécesseurs de déplacer l'ambassade des Etats-Unis de Tel-Aviv à Jérusalem. réagissant à la décision de Trump, le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres a déclaré que le statut d'El-Qods ne peut être résolu que par une "négociation directe" entre Israéliens et Palestiniens,en rappelant avoir toujours été "contre toute mesure unilatérale". "Il n'y a pas d'alternative à la solution de deux Etats", a-t-il ajouté. Pascal Boniface, géopolitologue français et directeur de l'Institut de relations internationales et stratégiques (IRIS) a réagi à l'annonce de Trump sur sa page facebook: Rédaction Digitale de "Liberté" (#RDL) @JournaLiberteDZ