Classement des universités : Béjaïa conforte sa position Quelque 6 universités algériennes figurent dans le classement des meilleures universités au monde "World University Rankings 2019". C'est ce qu'a indiqué le Pr Khodir Madani, sur sa page facebook. Et elles occupent de meilleures places au niveau maghrébin. Selon lui, c'est l'université de Béjaïa, qui occupe la première place au niveau national, suivie de l'université Ferhat-Abbès de Sétif, classées respectivement 826e et 871e au niveau mondial. Les quatre autres universités algériennes sont l'université de Annaba, l'université Constantine 1, l'université des sciences et technologie de Bab Ezzouar et enfin l'université de Tlemcen. La nouveauté, c'est que les universités algériennes viennent de devancer leurs homologues marocaines et tunisiennes, qui, selon le classement, se positionnent à la 911e pour l'université Cadi Ayyad de Marrakech et 957e pour l'université de Sfax. Plus encore, a signalé le Pr Madani, le nombre d'universités algériennes (six), citées dans le classement est plus élevé, que celui de nos voisins tunisiens (trois) et marocains (quatre). Cependant, les universités algériennes viennent bien derrière celles des autres pays arabes : l'université saoudienne du roi Abdulaziz est classé numéro 1 au niveau arabe ; elle est classée 222e au niveau mondial, suivie par l'université "Khalifa" des Emirats arabes unis (373e) et l'université du Qatar (468e). Plus loin figurent l'université du Caire, soit à la 606e, l'université américaine libanaise (812e) et enfin l'université de Baghdad (821e), soit juste avant celle de Béjaïa. M. OUYOUGOUTE Lycée Bougasmi de Médéa : Les enseignants et les travailleurs protestent Un mouvement de grève a été déclenché ces deux derniers jours, par les enseignants et les travailleurs du lycée Bougasmi pour protester contre la mutation de leur chef d'établissement, selon un communiqué émis par les protestataires. Selon ces derniers, la mutation de leur directeur par la direction de l'Education est une décision intempestive qui est de nature à perturber la sérénité de l'établissement où aucune grève n'a été enregistrée durant toute la période de sa gestion. Dans leur requête adressée au wali, les protestataires demandent son intervention après avoir essuyé le refus de la directrice de l'Education de venir sur place pour leur permettre de comprendre les raisons ayant motivé la décision de mutation de leur directeur. Outre l'arrêt total des cours, les enseignants et les travailleurs du lycée menacent de recourir à amplifier leur mouvement si leur revendication concernant l'annulation de la décision de mutation de leur directeur n'était pas annulée. M. EL BEY