Le lycée Nour-El-Houda agréé Le premier lycée privé, agréé selon les nouvelles dispositions du ministère de l'éducation, est dénommé Nour-El-Houda. Selon son propriétaire, cet établissement sera régi par les mêmes textes que ceux de l'Education nationale. “Notre établissement prendra en charge tous les élèves recalés de la 9e AF à la 3e AS. Cependant, il faudrait que les parents et leurs enfants sachent qu'il y a des critères rigoureux pour leur inscription”, nous a déclaré le propriétaire. À titre d'exemple, un élève de 9e AF ne sera inscrit que s'il justifie d'une moyenne située entre 9 et 9,99 au BEF. Aussi, ce responsable estime que son lycée vient en complémentarité avec ceux du secondaire, tout en dispensant un enseignement de qualité. Un distributeur automatique de billets La poste de Draâ El Mizan vient d'être dotée d'un distributeur automatique de billets. “Cette prestation entre dans le cadre de l'amélioration des services promis par Algérie poste”, a-t-on appris auprès d'un guichetier. Les chaînes interminables, qui se formaient au moment des retraits des salaires et des retraites, seront ainsi réduites. Néanmoins, il faudrait peut-être lancer une campagne de sensibilisation sur son utilisation. Car, faudra-t-il le préciser, d'aucuns ne savent pas encore que chaque retrait ne peut se faire qu'avec une carte magnétique qu'il faut acquérir au niveau du centre des CCP. En tout cas, cet appareil est venu, à point nommé, atténuer le calvaire des usagers des P et T. Nuées de moustiques Contrairement à l'été dernier, la lutte anti-moustiques n'est pas menée régulièrement, si bien que des nuées d'insectes envahissent les foyers. Selon quelques habitants des quartiers situés à proximité de décharges publiques sauvages, leur sommeil est constamment perturbé par ces volatiles. Cependant, disent-ils, les plus vulnérables restent les bébés. Il faudra souligner que ces lieux insalubres, improvisés près des habitations ainsi que le barrage de Draâ El Mizan, constituent des sources de prolifération de ces insectes. Les citoyens lancent un appel en direction des autorités de reprendre le programme de lutte anti-moustiques, car la santé publique se trouve menacée. O. Ghilès