L'ancien ministre de la Communication, Abdelaziz Rahabi, décide de ne pas rejoindre l'instance de dialogue et de médiation. "Je souhaite tout le succès à Karim Younès, mais je m'en tiens à Aïn Benian : mesures de confiance et d'apaisement et instance indépendante d'organisation de contrôle et de proclamation des résultats des élections. Je ne suis pas sûr que les Algériens iront voter sans ces garanties", a écrit M. Rahabi dans une réaction publiée sur Twitter. B. K.