L'état des routes est sans exception alarmant dans toute la périphérie de la ville de l'ex-Michelet. Sans nous attarder dans la sinistre énumération, relevons quelques-unes des plus défoncées. Du carrefour de Sid Ali Ouyahia, vers le lycée de jeunes filles, l'école primaire et l'hôtel Le Djurdjura, la route sinueuse a été plusieurs fois éventrée suite aux assainissements répétés pour ensuite la délaisser endommagée, à tel point que les usagers (fonctionnaires) préfèrent garer leurs véhicules à quelque 2, voire 3 km, et poursuivre le bout de chemin à pied. Du côté de l'hôpital, via Akkar et lycée Ben Boulaïd, la route est quasi impraticable : des cratères aux bords tranchants n'épargnant aucunement la carrosserie et la suspension automobile. En outre, les piétons sont contraints de se disputer ce qui reste de la chaussée avec les voitures, courant ainsi d'énormes risques, car tout simplement les trottoirs sont inexistants. Le tronçon menant vers Aït Yahia est en chantier depuis des lustres. Ni réfection ni revêtement qui cacheraient les dallettes des regards qui poussent au milieu de la chaussée, causant des désagréments aux passants. Enfin, faudra-t-il encore attendre des lustres pour voir les services concernés s'occuper du revêtement ? Limara B.