L'Union générale des travailleurs algériens (UGTA) refuse de siéger au Conseil national économique social et environnemental (Cnese), une institution consultative que préside Redha Tir, au motif que les critères de sélection élaborés par le conseil ne l'agréent pas. Selon notre source, ce conseil a décidé que la Centrale syndicale sera représentée par cinq membres choisis par le Cnese. L'UGTA ne comprend pas pourquoi cinq sièges seulement lui sont attribués et pourquoi c'est le Cnese qui désigne ses représentants. Le Cnese a pris des mesures devant favoriser une participation aussi large que possible des représentants du monde syndical et de la société civile.