“J'ai l'honneur de vous informer que les déclarations faites en mon nom en qualité de coordonnateur de l'UOT d'Algérie Télécom à Tiaret dans l'article intitulé “Trois employés sous contrôle judiciaire” sont du moins insensées. En effet, depuis mon installation à la tête de cette UOT, je n'ai jamais eu l'occasion de m'entretenir avec ce N. Aymen, signataire de l'article en question qui, apparemment, fait allusion entre Relizane et Tiaret, une vraie cacophonie dans le contenu de la dépêche. Comment un journaliste d'un grand éditorial comme liberté puisse être induit en erreur sinon pire, au point de relater des faits relatifs à l'Actel de Relizane selon des déclarations du coordonnateur de Tiaret ? Par l'occasion, je vous pris de bien vouloir faire un démenti formel pour ce qui est des dites déclarations. Comme je me réserverais le droit quant aux éventuelles poursuites pour diffamation et déclarations mensongères à l'encontre de l'auteur de l'article du 28/11/2005. Dont acte.