Oued djer ROUTE INONDEE ET RUSH SUR LA RN4 La RN4, reliant Alger à Oran, est sujette après chaque chute de pluie à une inondation à la sortie est d'Oued Djer, précisément au niveau du virage menant à l'autoroute près du barrage du darak el watani. Une mare inonde une bonne partie du bitume. Au lieu de trouver une solution définitive, les autorités compétentes ont juste apposé une plaque portant l'inscription “route inondée”. Un peu plus loin, au niveau de Beni Djemaâ, un chantier, à la sortie d'un pont, occasionne de nombreux dérapages aux véhicules. KHEMIS MILIANA Les habitants de la cité Nedjma se plaignent des coupures d'eau Dans une longue missive adressée à notre bureau, les habitants de la cité Nedjma se plaignent des fréquentes et longues coupures d'eau potable. Selon ces derniers, depuis au moins trois mois, l'eau ne coule que rarement dans leurs robinets, causant de nombreux désagréments dont celui d'acculer les enfants à d'interminables corvées. Les locataires des cités Emir-Abdelkader et Sidi-Maâmar, pourtant à quelques centaines de mètres, reçoivent l'eau en permanence. Pourquoi ce deux poids deux mesures ? MAKTAÂ KHEIRA (TI¨PAZA) LA DINDE DEFIE LA GRIPPE AVIAIRE Alors que l'Etat annonce l'achat de plus de 7 millions de flacons de Tamiflu, le commerce informel de la dinde continue au lieudit Maktaâ Kheira dans la wilaya de Tipasa. Des jeunes continuent d'égorger les dindes, de les plumer à l'air libre sur place, de les découper pour les vendre en morceaux ou les suspendre pour attirer les automobilistes. Le danger le plus probant est que des carcasses de dindes sont re-proposées à la vente, le lendemain, sans avoir été mises dans des réfrigérateurs. Pis, les abats sont entassés dans des sachets noirs puis vendus à 120 DA l'unité sans autre hygiène. Certains utilisent un baril d'eau chaude pour tremper des dizaines de dindes avant de les plumer sans que l'eau soit renouvelée. Et dire que les autorités locales ont amorcé une vaine tentative de contrôle en érigeant une sorte de marché, hélas trop étroit et rapidement boudé par les vendeurs. D'autre part, les étals sont laissés à l'air libre durant toute la journée et la nuit sans aucun toilettage, alors que les animaux viennent souvent dans les parages en quête des restes jetés. MOHA B. Beni Yenni Ouverture d'une cantine scolaire au CEM Mezani-Larbi La cantine scolaire du CEM Mezani-Larbi a enfin ouvert ses portes pour mettre fin au calvaire des dizaines d'élèves qui, la plupart du temps, étaient livrés aux conséquences néfastes de la rue, entre 12h et 14h. Cependant, entre autres désagréments, des parents ont soulevé le cas de “surfacturation” des ustensiles de cuisine. “L'APC nous offre gracieusement des ustensiles de cuisine. Par conséquent, il n'est pas dans mes prérogatives d'exiger les factures”, nous confie Aït Saâdi, directeur du CEM Mezani. En outre, les montants sont affichés en toute transparence sur le bulletin d'information Taghiwant Infos. “Et puis, pourquoi avoir attendu (depuis 2003 jusqu'à décembre 2005) pour susciter une telle inquiétude ?” s'interroge-t-on. M. Larbi ajoutera : “Si la cantine fonctionne avec quelques moyens et grâce aux cinq travailleurs AIJ, il n'en demeure pas moins que nos enfants grelottent de froid, car la cantine n'est pas équipée de chauffage.” Encore un épineux problème. LIMARA B.