“Au-delà des mensonges impudents relatifs à la lâche agression que j'ai subie, M. Hacène Oudni cache sa lâcheté derrière le symbole de son père, Si Moh Nachid que j'aurais insulté. Si Moh Nachid, héros national depuis 1945, est un martyr respecté et respectable par nous tous, comme le sont Krim Belkacem, Ouamrane, Ali Mellah, Amirouche et tant d'autres, nobles martyrs de Novembre. Il ne me viendra jamais à l'idée de confondre de telles légendes avec le misérabilisme et la lâcheté de Hacène Oudni et de ses deux acolytes de frères. Si Moh Nachid — qu'il repose en paix — nous appartient à tous ! Nous l'avions respecté de son vivant et nous le respectons toujours aujourd'hui qu'il n'est plus de ce monde. Quant aux circonstances de l'ignoble guet-apens, le mensonge est trop gros pour passer. Les faits sont têtus et ne prêtent à aucune équivoque. Pour preuve, mes agresseurs se sont sentis obligés de déterrer leur noble père pour faire diversion. Quelles sont les raisons qui me pousseraient à insulter un mort et de surcroît Si Moh Nachid. La justice qui est saisie fera, je l'espère, toute la lumière. Quant aux pseudo-témoins dont se targuent le sieur Oudni, il sera surpris au tribunal des vrais témoins que je présenterai.” HOcine Demiche