Sidi Hamadouche (Sidi Bel-Abbès) Le P/APC suspendu Le président de l'APC de Sidi Hamadouche, relevant de la daïra de Aïn El-Berd (19 km au nord du chef-lieu de wilaya) ,vient d'être suspendu de ses fonctions et ce, en application de l'article 32 du code communal, apprend-on de source autorisée. En effet, le maire de l'ex-les Trembles, d'obédience RND, et suite à une plainte déposée à son encontre par la wilaya pour détérioration de biens appartenant à la commune, fait depuis plus d'une année, l'objet d'une action en justice qui doit statuer sur son cas. Son vice-président, M. Sahraoui, a été désigné en qualité de maire intérimaire. B. AZIZ Une importante quantité de pétards saisie Six mille huit cent quatre-vingt-quatre pétards ont été saisis durant le week-end dernier par les éléments de la police à travers les différents quartiers du chef-lieu de wilaya. Selon la cellule de communication de la Sûreté de wilaya, six personnes, qui s'adonnaient à la vente de ces produits explosifs d'une manière illégale, ont été arrêtées et seront déférées à la justice. A. B. CNAS DE AIN TEDLES (MOSTAGANEM) DETOURNEMENT DE 90 MILLIONS DE CENTIMES Un détournement vient d'être découvert par les éléments de l'inspection de la direction de la Cnas de Mostaganem. Il s'agit d'un trou de 900 000 DA dans les caisses de l'antenne. Les inspecteurs de la Cnas ont épluché les dossiers relatifs aux virement des assurés de cette daïra qui chapeaute plusieurs communes. Devant cette situation, les membres de la commission ont ainsi suspendu le chef d'antenne, en attendant les poursuites judiciaires. Saisis de l'affaire, les éléments de la sûreté de la daïra de Aïn Tedles ont ouvert une enquête, afin de situer les responsabilités et mettre un terme à ces détournements. MEDJADJI M. ATTRIBUTION DE LOGEMENTS SOCIAUX À TIARET DU CALME À L'AGITATION Si le mécontentement de certains citoyens dont les noms ne sont pas apparus sur la liste des bénéficiaires de logements sociaux n'a pas été ébruité durant la journée de samedi, le contraire s'est produit en fin de soirée quand, vers 20h, une dizaine de familles n'a pas trouvé mieux que de recourir au squat des appartements situés au niveau des cités Chaïb et 40-Logements (Cadat). Ces dernières ont même menacé d'accentuer leur action par d'éventuels saccages si l'on ne songe pas à revoir les listes. “Bien qu'aucune gravité n'est enregistrée pour l'heure, le moins que l'on puisse dire c'est que ce qui s'est passé est plus que regrettable dans la mesure où ceux qui se sentent vraiment désavantagés ont la possibilité de procéder au recours dans les règles de l'art”, nous dira un responsable contacté qui n'a pas été avec le dos de la cuillère, accusant ainsi les instigateurs de cette action. Entre les mots, ce dernier laissait croire qu'il faisait allusion à ceux qui, dans le passé, faisaient la pluie et le beau temps en usant de mensonges pour induire la population en l'erreur. R. SALEM