Noyade au barrage de Chorfa Sans vraiment mesurer les risques qu'ils encourent, des jeunes bravent le danger en se baignant dans les eaux profondes du barrage de Chorfa situé dans la daïra de Sig. L'un d'eux, le jeune D. A., 15 ans, n'a pas hésité à effectuer un plongeant pour ouvrir la voie à ses camarades réticents. Son geste a été fatal puisqu'il s'est noyé. Son frêle corps sans vie a été repêché par les hommes-grenouilles de la Protection civile. Vols de câbles téléphoniques Dans la commune de Hacine, les gendarmes après une surveillance programmée ont mis fin aux agissements de deux jeunes qui s'adonnaient au vol de ces câbles même enfouis sous terre. Appréhendés, ils ont été présentés devant la justice. A. B. 22 clandestins asiatiques arrêtés à MAGHNIA L'immigration illégale asiatique dans notre pays devient de plus en plus importante. Plusieurs arrestations d'immigrés clandestins ont eu lieu ces derniers mois. Ainsi, au cours de la semaine écoulée, 18 ressortissants indiens et 4 ressortissants bangladeshis ont été interpellés par les éléments du groupement de la garde-frontière. Ceux-ci ont été présentés à la justice qui les a condamnés à 2 mois de prison avec sursis et ont été reconduits aux frontières. AMMAMI MOHAMED Les habitants de Adaïdia (Mostaganem) interpellent les autorités Les 500 habitants du douar Adaïdia el Biyad, relevant de la commune de Sirat, vivent au quotidien le calvaire le manque d'eau potable. Cette situation perdure, malheureusement, depuis une décennie. Ils sont alimentés par des citernes payées 700 à 900 DA. En second lieu, ils citent le problème de l'état des routes devenues impraticables surtout en hiver, ce qui oblige les enfants scolarisés à rester chez eux en période de mauvais temps. Les prostestateurs dénoncent aussi dans leur pétition l'absence d'un établissement scolaire qui fait défaut dans leur douar, ce qui oblige leurs enfants à rejoindre l'unique établissement scolaire implanté à quelques trois kilomètres de leur douar. Toujours dans la même pétition, ils citent entre autres l'absence des infrastructures de bases, notamment une clinique ou un centre de santé qui font défaut, ainsi que d'autres infrastructures sportives et culturelles pour faire occuper ces milliers de jeunes qui sont dans la rue. Ainsi les habitants de ce douar lancent un SOS aux pouvoirs publics afin que leurs problèmes soient résolus dans les meilleurs délais. Medjadji M.