“Le bénévolat” perdure à la tête des Sanafirs. Une semaine après la démission du bureau de Benghozel, la présidence de l'association est assurée par des “bénévoles” qui attendent du moins la nomination par la DJS. Il s'agit de Cheni et d'Ounis. Seulement voilà, ces derniers renvoient la balle aux autorités locales. Ils revendiquent une subvention, soit 1 milliard 400 millions de centimes. Il n'empêche qu'à ce propos le DJS s'est entretenu avec le directeur des impôts qui lui a promis des échéances de payement à titre de 25 millions le mois. Malgré cette entreprise, les postulants sont réticents d'autant que le groupe Khalifa annonce son retrait en matière de sponsor. Pour le service des sports de Constantine, le recours à une assemblée extraordinaire demeure l'option logique même si du côté des clubistes on continue à maintenir Ounis et rejeter du coup le conclave de la vérité : qui prendra les rênes du CSC avec 5 milliards de dettes. par ailleurs, selon un milieu proche des Sanafirs la FAF aurait exigé la mise en place d'un directeur qui parachèvera la gestion du club jusqu'à la fin de l'exercice. En somme, la DJS devra se prononcer aujourd'hui. “Une décision ferme sera prise”, soutient Athamena le DJS. Un ESC centenaire sans maître de bord… c'est la désillusion ! N. H.