Un propriétaire d'une maison qui avait fui le terrorisme à Birkhadem (Alger) a vu sa ligne téléphonique résiliée par le Centre téléphonique de Bir Mourad Raïs sans aucun préavis. Après réclamations, et malgré la reconnaissance par le service du contentieux d'Alger de l'irrégularité de la résiliation, le chef du centre a informé l'abonné que la coupure est due au non-paiement des factures. Or, preuves à l'appui, le propriétaire qui a exhibé sa dernière facture, payée avant résiliation et qui date de juillet 2002, a avoué que sa ligne a été cédée à une autre personne.