Suite aux plaintes formulées par des acteurs des arts martiaux sur les irrégularités dans la gestion de la Fédération algérienne des arts martiaux, le ministre de la Jeunesse et des Sports a donné des instructions à ses différentes structures afin que des mesures soient prises pour redresser la situation. Il n'en demeure pas moins qu'au jour d'aujourd'hui, rien n'a été fait. D'où la poursuite de la chute vertigineuse des disciplines gérées par cette fédération, comme l'indique la baisse du nombre de licenciés, qui est passé de 18 000 à 5 000 environ, sans parler des ligues, dont plus de la moitié a quasiment disparu.